Wow, par où commencer ? Déjà, je suis désolée pour tous les groupes qui auraient mérité mon attention mais que, par manque de temps, j’ai pas pu couvrir sur ce blog. Je regrette vraiment, y’a eu de sacrées pépites. Mais le catch de la semaine, il me vient de White Sparrows.
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Ensuite, wow quoi, juste wow. J’étais déjà très contente d’apprendre que White Sparrows avaient signé chez Sbäm, parce que pour moi, ils méritent clairement d’avoir ces moyens et cette couverture.
White Sparrows, c’est un des premiers groupes dont j’avais parlé dans un webzine (qui, au passage, n’existe plus), parce que leur album « Kein Applaus » faisait partie de mon Top 5 de 2018. J’avais d’ailleurs repris mes impressions dans ce billet ici.
C’est un groupe qui est un de mes gros, très gros coups de cœur de cette année là. Je me souviens encore de la toute première fois où je les ai entendus, c’était avec le morceau « Gott sei Punk » sur ma webradio préférée, celle que j’écoute à longueur de journée, punkrockers-radio.de.
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Bref, revenons-en au sujet de ce papier. White Sparrows donc, qui a sorti ce 23 septembre un premier morceau,« Du und dein Gewehr » de l’album à venir. Et là, BEUM, électrochoc. Propulsée dans quelque chose qui me parle, avec une voix et un son qui me sont familiers. Y’a quelque chose dans leur musique qui me transporte (où, je sais pas, mais j’y suis foutrement bien). J’avais besoin de ça. Reconnaissance, et cœur sur vous.
Le morceau est fichtrement bien construit. J’y retrouve les éléments qui m’avaient fait craquer pour ce groupe, notamment l’efficacité des mélodies qui me prennent aux tripes. Aussi bien sûr l’intention clairement affirmée (et dieu sait que cette intention là, on en a clairement besoin par les temps qui courent), le flow et le grain de voix : cette voix écorchée, à vif, qui transmet tellement de choses, qui fout parfois les poils, qui sert à merveille le morceau. D’ailleurs c’est marrant, je relis mon papier précédent, et ça confirme ce que j’avais aimé dans chez ce groupe. « Touchée en plein cœur », « clairement embarquée », c’est ce que j’avais écrit à l’époque, et c’est toujours et à nouveau le cas. J’vais être très honnête, depuis vendredi, c’est en boucle que j’écoute ce morceau. Littéralement.
On notera la participation (très réussie, très naturelle, comme une évidence) de Michi du groupe Matahonmann sur ce morceau. J’ai pas encore eu l’occas de parler d’eux sur ce blog, ça viendra.
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Bref, j’avais hâte, mais je ne m’attendais pas à une aussi bonne surprise comme avant-goût de l’album à venir, “Zwischen Liebe, Hass und Suff”. Mon impatience pour le nouvel album est du coup multipliée. Le 25 novembre 2022 est très clairement une date à noter dans les tablettes et à ne pas rater.